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Black Weekend Day 4 : rencontre avec Dream Koala

Dream Koala, c’est Yndi Ferreira, jeune garçon de 18 ans qui arrive avec brio à mixer électro et guitare électrique pour créer une musique toute douce. Nous avons bien fait de lui poser quelques questions avant son set à la Pool Party du Black Weekend : on serait sinon restés coits, incapables de poser des questions pu

Dream Koala, c’est Yndi Ferreira, jeune garçon de 18 ans qui arrive avec brio à mixer électro et guitare électrique pour créer une musique toute douce. Nous avons bien fait de lui poser quelques questions avant son set à la Pool Party du Black Weekend : on serait sinon restés coits, incapables de poser des questions puisque sous l’emprise de sa Chill Wave toute mélancolique. C’est sûr, Dream Koala a su parler à notre petit coeur tout mou. Rencontre.


OnVillaNuit : C’est votre première fois au Black Weekend ? Et à Chamonix ?

Dream Koala : Oui, je n’avais jamais joué ici auparavant. C’est aussi mon premier festival !

OnVillaNuit : Avez-vous eu le temps de voir d’autres artistes ?

Dream Koala : Je viens d’arriver, et je ne connais pas vraiment les artistes programmés… A part Pachanga Boys, et je vais les voir puisqu’ils jouent après moi.

OnVillaNuit : Comment vous sentez-vous avant votre live ? Un peu stressé ?

Dream Koala : Il y a un spa, une piscine… Je vois difficilement comment je pourrais être stressé.

OnVillaNuit : Qu’est ce que vous buvez ?

Dream Koala : Pour l’instant rien du tout, mais je pense me siroter un petit cocktail avant de jouer.

OnVillaNuit : Un souvenir de concert à partager ?

Dream Koala : Récemment je suis allé voir The XX au 104, et c’était vraiment super. C’est ce concert qui m’a motivé à mettre plus de voix dans mes morceaux.

OnVillaNuit : Comment pourrait-on décrire Dream Koala à quelqu’un qui ne connaît pas ?

Dream Koala : C’est un rêve éveillé.

OnVillaNuit : Et d’où vient votre nom de scène ?

Dream Koala : J’ai toujours trouvé intéressant de se comparer à un animal, et quand j’ai commencé à faire ce side project (j’ai un groupe à côté), j’ai tout de suite pensé au Koala. C’est une espèce calme, un peu fainéante, dans son coin….

OnVillaNuit : Quelles sont vos influences ?

Dream Koala : A l’origine, j’écoute beaucoup de post-rock, du métal et du hardcore. C’est pour cela que j’aime incorporer de la guitare électrique dans ma musique. J’aime beaucoup les Deftones, My Bloody Valentine, Explosions in the sky, Toro y Moi, James Blake. J’adore le jazz aussi, Miles Davis. Et j’ai oublié Nicolas Jaar ! Il y a tellement d’artistes que j’apprécie…

OnVillaNuit : Quelle est votre playlist du moment ?

Dream Koala : J’écoute en boucle Nicolas Jaar justement et Andy Stott.

OnVillaNuit : Où peut-on te trouver à partir de 21 heures ?

Dream Koala : Je suis en train de diner. On mange tard chez moi.

OnVillaNuit : Avez-vous un poison ?

Dream Koala : Facebook. C’est triste, mais je pense que je serais un bien meilleur guitariste s’il n’y avait pas Facebook.

OnVillaNuit : A quoi ressemblerait votre soirée idéale ?

Dream Koala : Il y aurait plein de filles asiatiques et ça commencerait avec un groupe de post-rock, puis du hip hop et de l’UK Bass.

OnVillaNuit : Où sortir à part Chamonix ?

Dream Koala : Je ne sors pas trop, à part pour des concerts ou chez des amis… Sinon pour manger je conseille l’East Side Burger (60 boulevard Voltaire à Paris), c’est un fast food végétarien.

OnVillaNuit : Quels sont vos projets en 2013 ?

Dream Koala : Je fais de nombreuses dates à l’étranger et je travaille de nouvelles tracks, toujours dans cette perspective d’affiner mon son et ma personnalité. Un EP va aussi sortir prochainement, ainsi qu’une cassette expérimentale, une réflexion sur les souvenirs. J’ai retravaillé 40 minutes de son et de samples pris du film “The Eternal Sunshine of the Spotless Mind” (NDLR : réalisé par Michel Gondry)…

Le Facebook de Dream Koala

Propos recueillis par Marine Normand

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