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Alex Beaupain au Casino de Paris le 17 Decembre

Il y a plusieurs manières d’aborder la chanson. La première, c’est le style à la Papa. Sortir un petit vinyle de Brassens et le jouer sur la platine. Cool. La seconde, plus physique, est de se concentrer sur les lives pour voir ce que les artistes ont dans le ventre.

Il y a plusieurs manières d’aborder la chanson. La première, c’est le style à la Papa. Sortir un petit vinyle de Brassens et le jouer sur la platine. Cool. La seconde, plus physique, est de se concentrer sur les lives pour voir ce que les artistes ont dans le ventre.

Voir un live de Bashung avait tout d’une expérience transcendantale. Voir Dominique A relève de la frustration, la faute à un public trop “canapé”. Voir Miossec tend souvent vers le combat de catch. Et voir Biolay peut être l’occasion de moments de lumière intense, comme d’ennui effroyable. Passons sur les (déjà) vieilles gloires de la (bonne) chanson française, pour s’orienter vers un nouveau (pas tant que ça) venu.

Alex Beaupain, le chouchou d’Alka Balbir a tout de même bientôt quarante ans. C’est souvent le bon âge pour la chanson. Celui où les ballades faciles sont dépassées et où commencent souvent des textes plus puissants. C’est un peu son cas : Avec son album Après moi, le déluge, il reçoit des bons mots de toute la presse spécialisée. Mais, comme nous le disions plus haut, nous sommes des gens du live. Et on a vraiment hâte de voir ce que va donner cet outsider le 17 Décembre au Casino de Paris.